En ce 9e jour du calendrier de l’Avent spécial drama, je réponds donc à une nouvelle question dans cet article.
Pour rappel, cet événement est organisé par Luthien sur son blog : Lumière !
La question du jour est la suivante :
Je le confesse, j’ai la larme assez facile. Un moment d’émotion suffit parfois à me rendre triste et faire couler quelques pleurs. Cela se passe surtout lorsque j’ai adoré une série. Oui, oui chez moi c’est un indicateur fiable de coup de cœur. *rires*
Parmi tous les drama que j’ai vus (et ceux en cours) et qui m’ont fait pleurer, je pourrais citer Reply 1997, I’m not a robot, Pinocchio, Signal, Prison playbook, Mystic pop-up bar, It’s okay to not be okay, The princess Weiyoung, Do you like Brahms?, My holo love et peut-être The story of Yanxi palace. Donc en gros, quasiment un bon 95% de ce que j’ai regardé !
Après moult tergiversations, j’ai finalement choisi Still 17, qui fait aussi figure de coup de cœur dans le cadre de calendrier de l’Avent drama.
Pourquoi ai-je tant pleuré devant Still 17 ?
Je l’ai auparavant esquissé dans mon article sur le premier jour du calendrier de l’Avent drama de cette année mais je souhaiterais revenir en détails sur ce qui m’a précisément touchée et émue.
Sans spoiler et pour résumer, Still 17 aborde des thématiques comme la reconstruction de soi après un traumatisme, la culpabilité ou encore la confiance envers autrui. Ce sont des thèmes qui m’émeuvent beaucoup à chaque fois car je ne peux m’empêcher d’avoir de l’empathie pour les héros que cela concerne.
Still 17 réussit magnifiquement à nous faire vivre ces moments, que ce soit les angoisses de nos personnages ou encore leur profonde tristesse. Le ton est très juste, même si nous naviguons clairement dans le mélodrame. Les scénaristes ont réussi à trouver la bonne intensité pour faire ressortir toute leur détresse mais aussi leurs joies et instants plus tendres.
Still 17 n’est pas qu’un drama qui fait pleurer. C’est un savoureux mélange qui représente bien la vie, à la fois ses périodes joyeuses, ses passades plus tristes, ses instants de doutes, etc. Même si bien entendu nous sommes à Dramaland, l’histoire demeure crédible dans son traitement et c’est en cela qu’elle me touche davantage. Il n’y a pas besoin de grand méchant pour renforcer les liens de nos protagonistes et pour qu’ils découvrent leurs sentiments respectifs. Ils se torturent suffisamment eux-mêmes et ont assez de souffrance à extirper qu’ils sont leur propre ennemi.
Ainsi, afin de ne pas me frustrer, ce qui suit contiendra des spoiler, que je vous conseille de ne pas lire si vous n’avez pas regardé l’intégralité du drama. Pour plus de précaution, à l’exception des images, qui à mon sens ne révèlent rien que le synopsis ne dévoile déjà, le tout sera inclus dans des balises spéciales que vous pourrez dérouler ou non.
2 commentaires
Ce drama m’a aussi beaucoup touchée et j’ai versé quelques larmes devant.
Et dire qu’à la base je voulais regarder un drama plus « léger » après Signal. XD Je n’aurais pas cru qu’il me bouleverserait autant, très honnêtement.