Visionnages du mois : Janvier 2021

Haikyû!! saison 4 cour 2 – épisodes 11 et 12 : Je termine la saison 4 de Haikyû!! non sans un pincement au cœur. Ces deux derniers épisodes étaient très intenses, aussi bien en émotions qu’en suspense. Les coups de théâtre étaient nombreux. Ça donnait encore plus l’impression que rien n’était acquis : chaque point remporté pouvait tout faire basculer !

J’espère qu’on aura une saison 5 !

7SEEDS saison 2 – épisodes 9 à 12 : Il ne me restait que 4 épisodes pour terminer cette saison de 7SEEDS. J’ai passé un très bon moment, à stresser un peu sur comment ça allait tourner pour nos personnages !

Bien sûr le chara-design de l’anime s’éloigne du trait de Yumi Tamura.

Yashahime: Princess half-demon – épisodes 1 à 6 : J’adore l’univers d’Inuyasha, à tel point que je re-regarde souvent l’anime (et je tente de terminer ma collection du manga). C’est donc tout naturellement que ce spin-off, se passant une génération plus loin, m’a intéressée.

On retrouve tout ce qui fait le charme de cette série, avec de nouveaux enjeux. Je prends également beaucoup de plaisir à retrouver certains personnages – qui pour certains ont grandi/vieilli.

Fruits basket – épisodes 20 à 25 : Après plus d’un an de pause, je termine enfin la première saison de l’anime ! À quelques mois de la dernière saison, il était temps !

C’est notamment l’occasion d’en savoir plus sur Saki, l’amie mystérieuse de Tohru. Comme d’habitude, j’ai adoré ces épisodes, qui présentent une version plus fidèle de la série de Natsuki Takaya.

Jujutsu kaisen – épisodes 11 à 14 : Définitivement, Jujutsu kaisen est l’un de mes derniers coups de cœur shônen du moment. Cette deuxième moitié du premier cour de la saison est passionnante et offre des moments de combats intenses.

On découvre ainsi les ennemis que vont devoir affronter nos lycéens pas comme les autres, et ils ont l’air de ne pas vouloir rigoler !

Moi, quand je me réincarne en slime – épisode 1 : J’ai voulu tenter un genre d’animes auquel je n’ai pas l’habitude : les isekai. Celui-ci étant assez loufoque, il m’a attirée.

Ce premier épisode présente assez efficacement le contexte et l’univers dans lequel est plongé le héros devenu slime. C’était plutôt sympa. À voir quand je le continuerai, mais j’espère pouvoir terminer la saison 1.

Rinne – épisodes 14 et 15 : Je continue la première saison de Rinne à un rythme toujours autant décousu, quand ça me chante et ça me convient. J’arrive assez rapidement à raccrocher les wagons.

Le principe de chaque épisode ne diffère pas : un épisode = un cas d’exorcisme à résoudre. Les affaires se règlent assez facilement, mais le malentendu entre Sakura et Rinne s’accroît…

An honest candidate : C’était une chouette comédie ! L’héroïne, femme politique qui se présente à la mairie de sa ville, m’a énormément fait rire. Elle est tellement habituée à mentir, que lorsqu’elle se retrouve forcée à dire la vérité, ça lui fait un choc. C’est d’autant plus drôle pour nous puisque les situations cocasses s’enchaînent les unes après les autres.

Love me, love me not : J’aime beaucoup le manga d’Io Sakisaka dont est issu ce film (Love, be loved Leave, be left). Cette adaptation faisait d’ailleurs partie de ma wishlist 2020.

Dans l’ensemble j’ai bien aimé ce long métrage, joliment réalisé dans un esprit tranche de vie. Le jeu des acteurs était très juste. Par contre, avec sa durée de plus de 2 h, j’ai parfois décroché, surtout vers la fin.

My shy boss – épisodes 10 à 16 : Après une première moitié ayant peiné à me convaincre, j’ai mieux apprécié ces 6 derniers épisodes. L’héroïne, qui me sortait un peu par les yeux (notamment par son côté intrusif), a progressivement gagné dans mon estime.

Je ne regrette donc absolument pas ce visionnage et suis contente de l’avoir poursuivi. Au final, j’ai été très émue par le récit ainsi que les épreuves traversées par les différents personnages.

Go go squid! – épisodes 34 à 41 : Cela faisait longtemps que j’avais mis ce drama en pause, l’ayant commencé plus d’un an auparavant.

Go go squid! est un petit bonbon sucré qui fait du bien, surtout quand on a un coup de mou. Et ces épisodes ne dérogent pas à la règle.

La fin conclut très bien la série, même si les scénaristes se sont quand même bien « gavés » en flashbacks ! Tous n’étaient pas forcément nécessaires…

Do you like Brahms? – épisodes 10 à 16 : Comme je savais que toute la tension dramatique allait porter sur ces derniers épisodes, j’ai fait exprès d’être dans l’humeur adéquate pour les regarder.

Comme je m’y attendais, c’était très riche en émotions avec notamment un climax à l’épisode 15 mais aussi au 16e. Au final, j’ai aimé ce drama, notamment grâce à ses personnages – en particulier ce magnifique duo formé par Song-Ah et Joon-Young.

Twisted fate of love – épisodes 12 et 13 : Je n’ai pas autant enchaîné les épisodes de ce drama car j’ai préféré me concentrer sur la fin d’autres séries.

Malgré tout, je continue d’adorer l’histoire, les décors et les personnages. Je reste séduite par ce héros très ambivalent et secret. Il me tarde d’en savoir plus sur lui.

True beauty – épisodes 7 à 10 : J’ai pris énormément de retard sur True beauty, à tel point que j’ai peu de me faire spoiler sur Twitter… Aussi ai-je mis un coup d’accélérateur dans mon visionnage.

Le drama reste agréable à voir, avec sa palette de couleurs bleutée. Et l’histoire s’étoffe avec notamment quelques antagonistes qui sortent du bois.

Birthcare center : Ce court drama de 8 épisodes m’a beaucoup plu et émue. Il traite avec justesse, sans jugement, de la maternité : ses bonheurs mais aussi ses douleurs, tout comme les conséquences de l’arrivée d’un nouveau membre dans une famille.

Ces jeunes mères sont accueillies dans un centre de naissance au sein duquel elles apprennent, avec leur conjoint, à appréhender ce nouveau rôle. Tout n’est pas rose – comme le laisse penser les décors – mais la solidarité dont font preuve ces héroïnes est belle à voir !

The princess Weiyoung – épisodes 30 à 40 : Après une petite pause dans ce drama, j’ai décidé de le poursuivre car l’histoire me plaît bien – même si j’en avais marre des coups montés constants contre l’héroïne.

Dans ces épisodes, rien de bien marquant si ce n’est une belle avancée dans le récit. Nos personnages principaux sont encore plus entourés d’ennemis et n’ont aucun répit.

Quoiqu’il en soit je reste admirative devant la somptueuse réalisation de ce drama. Les toilettes et les décors (bien que faux) sont magnifiques ! Et la bande-son me plaît.