Visionnages du mois : Avril 2021

Jujutsu kaisen – épisodes 18 à 24 : Je termine cette saison sur une excellente note, pour une série que j’affectionne tout particulièrement. Jujutsu kaisen fait sûrement partie de mes coups de cœur shônen de ces dernières années.

Ces derniers épisodes sont traités avec une animation de qualité et une bande-son agréable. Les combats sont démentiels et même si l’histoire n’est pas originale (comment l’être en 2021 ?), elle est bien menée. Un coup de cœur !

La voie du tablier : J’ai entendu beaucoup de bien du manga, et je voulais tester l’histoire grâce à cette adaptation en anime disponible sur Netflix. Le moins que l’on puisse dire c’est que l’animation est très particulière, façon motion comic. J’ai été très déroutée au premier épisode. Mais après, je me suis bien adaptée et j’ai pu apprécier mon visionnage.

L’accent est mis sur le comique de situation et le décalage entre ce héros, ancien yakuza, et sa passion pour la cuisine. J’ai beaucoup aimé ! Et j’ai envie de lire le manga maintenant !

Love alarm – saison 2 : Dans ma revue du mois dernier, je déplorais mon manque d’investissement dans la première saison de Love alarm. Cette saison 2 confirme mon sentiment.

C’est beau, c’est sympa, on a des réflexions intéressantes mais c’est tout. L’histoire – ou l’adaptation je ne sais pas – manque cruellement d’ambition et se contente de rester en surface. C’est dommage ! Mais grâce à ce drama j’ai repéré quelques acteurs intéressants 😛 Tout n’est pas perdu.

Age of youth saison 2 – épisodes 6 à 14 : Mon coup de cœur se confirme pour cette deuxième saison d’Age of youth.

C’était une très belle série, avec de fantastiques personnages – aussi bien féminins que masculins. L’humour était très présent, mais les moments émouvants n’étaient pas en reste (avec un peu de flippe !).

Twited fate of love – épisodes 30 à 43 : Après la stagnation des épisodes en milieu de parcours, cette dernière partie m’a davantage plu.

On n’évite pas les répétitions, mais ça reste très touchant. Le développement du récit permet de répondre à certaines questions, même si d’autres restent à notre libre interprétation. La relation entre les deux héros s’intensifie, pour mon plus grand bonheur – entre drames et sentiments.

Globalement ce drama aura été très plaisant à suivre, avec des décors de toute beauté et une belle bande-son (qu’on entend souvent).

Takane to Hana – épisodes 3 à 8 : Passée la déception du premier épisode, et motivée par l’envie d’en finir (c’est un moyen comme un autre :D), j’ai terminé d’une traite ce drama. Je n’ai qu’un mot : ENFIN !

Cette adaptation ne casse pas trois pattes à un canard. Elle est sympa, mais sans plus… J’ai ressenti une certaine gêne à certains moments, d’autant que je n’ai pas retrouvé l’aspect comique si particulier du manga.

Et puis l’absence visuelle de différence de taille entre Takane et Hana m’a posé problème.

Search: WWW – épisodes 2 à 6 : On entre dans le vif du sujet et des enjeux qui touchent notre héroïne, Ta-Mi. Outre la question morale de ce que l’on peut tolérer ou non sur internet/les portails de recherche, ce sont surtout les point de vue – personnels – des protagonistes qui nous permettent de nous interroger. J’adore les confrontations entre Scarlett et Tami – et leur complicité naissante !

L’autre point positif, c’est la réalisation/photographie. Les plans sont magnifiques, avec de beaux jeux de contrastes et d’effets de profondeur.

Arthdal chronicles – épisodes 6 à 18 : J’ai commencé ce drama lors de sa sortie puis l’ai mis en pause en attendant sa disponibilité sur Netflix. J’ai décidé de le reprendre, me surprenant enchaîner les épisodes – pourtant longs – assez rapidement !

Cette première saison (et j’espère qu’on aura une suite) m’a beaucoup plu. Si je passe outre le côté sous-exposé de certaines scènes m’obligeant à regarder la série le soir, l’histoire était très captivante ! Et puis Jang Dong-Gun avec des cheveux longs, quel régal ! ♥

Taxi driver – épisodes 1 et 2 : J’ai commencé Taxi driver totalement au hasard, intriguée par l’affiche. J’ai pu retrouver avec plaisir Lee Je-Hoon et Esom.

On plonge dans un récit très sombre, avec pas mal de violence, dans une société où les représentants de la loi n’arrivent pas à protéger leurs concitoyens. Une review sur ce pilote est prévue dans les prochains jours. Je n’en dis pas plus à part que j’ai beaucoup aimé ces 2 épisodes !

Record of youth – épisode 1 : Cette série me tente depuis pas mal de temps. Avec ce premier épisode, on entre assez vite dans le vif du sujet : trouver sa voie et tenter de réaliser ses rêves.

Le personnage de Hye-Jun (interprété par Park Bo-Geom) me touche énormément, tout comme sa relation avec sa son grand-père. Il en est de même pour l’héroïne, sympathique et peu banale.

Voyage à Yoshino : Il s’agit d’un visionnage commun avec Sandrine Silve et Charlie_oeg. Si j’ai apprécié les paysages, assez reposants avec cette forêt qui vibre, j’ai l’impression d’être totalement passée à coté de l’histoire.

Entre délire psychédélique et poésie, je n’ai pas trop su où me positionner. Cela n’enlève rien aux talents des acteurs ni à la tension qu’ils ont su créer. Parfois c’était juste trop perché pour moi *rires*

So Young : Pour un peu sortir de mon sentiment mitigé sur Voyage à Yoshino, je suis partie dans le visionnage de So Young, un film chinois de 2013.

L’histoire se passe dans les années 90 et se révèle être un sympathique coming of age. Les difficultés de ces jeunes en pleine recherche d’eux-mêmes m’ont beaucoup touchée. On a du drame, de la romance mais aussi une belle complicité entre les différents personnages. D’ailleurs, je retrouve avec plaisir Mark Chao, que j’ai découvert dans Ten mils of peach blossom.

L’été de Kikujiro : Un très beau road movie, à la fois bizarre et divertissant, avec des scènes totalement loufoques !

On retrouve la classique association des contrastes entre Masao, à la recherche de sa mère, et Kikujiro, un ancien voyou – au cœur tendre. Mais tout ça nous donne un savoureux mélange qui m’a fait passer d’excellents moments.